Amour, amour où est tu passé
N’existerais tu que dans les rêves
Que tu enchantes de beauté
Avant que le sommeil s’achève
Tu laisses l’Âme émerveillée
De ta caresse affable et brève
Si heureuse d’avoir été bercée
À te rechercher alors sans trêve
Amour, amour qui est tu
Ta vérité est voilée parfois
Ne serais tu que désir aigu
D’un corps à serrer dans les bras
Même si le Cœur mis à nu
D’être sincère se fait Foi
Exaltation, idéal, éperdus
Deviennent pour la raison, la Loi
Amour, amour des lendemains
Quand les sens sont apaisés
Et la passion un feu éteint
Qui en un instant s’est consumée
C’est une peine qui nous étreint
Si le plaisir ego nous a trompé
Séduire pour arriver à ses fins
Et chacun repart de son côté
Amour, amour qu’il faut du temps
Pour que tu sois autre chose qu’un cri
Qu’un sublime vertige d’amants
Lorsque des êtres la sève jaillit
Dans l’épreuve de l’engagement
Guettent les peurs, les jalousies
Les routines à miner le temps
Du charme, des sourires exquis
N’existerais tu que dans les rêves
Que tu enchantes de beauté
Avant que le sommeil s’achève
Tu laisses l’Âme émerveillée
De ta caresse affable et brève
Si heureuse d’avoir été bercée
À te rechercher alors sans trêve
Amour, amour qui est tu
Ta vérité est voilée parfois
Ne serais tu que désir aigu
D’un corps à serrer dans les bras
Même si le Cœur mis à nu
D’être sincère se fait Foi
Exaltation, idéal, éperdus
Deviennent pour la raison, la Loi
Amour, amour des lendemains
Quand les sens sont apaisés
Et la passion un feu éteint
Qui en un instant s’est consumée
C’est une peine qui nous étreint
Si le plaisir ego nous a trompé
Séduire pour arriver à ses fins
Et chacun repart de son côté
Amour, amour qu’il faut du temps
Pour que tu sois autre chose qu’un cri
Qu’un sublime vertige d’amants
Lorsque des êtres la sève jaillit
Dans l’épreuve de l’engagement
Guettent les peurs, les jalousies
Les routines à miner le temps
Du charme, des sourires exquis